PPT Cannes - Une pluie de stars au rendez vous !!

Le Partouche Poker Tour fait escale à Cannes du 2 au 7 septembre 2010. Plus qu'immanquable, l'événement est aujourd'hui devenu incontournable pour tous les passionnés. Le main event au buy in de 8 500€ attend plus de 600 joueurs. En parallèle, de nombreux sides raviront les joueurs (programme complet ici)


Les stars internationales au rendez-vous !
Pour l'occasion de nombreuses stars du poker font le déplacement sur la côte d'azur... De Phil Ivey à David Benyamine, en passant par la fratrie Mizrachi (Robert, Eric et Mikael), Gus Hansen (qui a invité tous les membres de sa famille à participer au PPT), Mike Matusow, Scotty Nguyen, Elky, Eric Seidel, Patrick Bruel, Chino Rheem ... tous répondront présents au PPT Cannes 2010 !!

Toutes les teams représentées
Les teams devraient également être au complet avec Partouche bien entendu (Roy, Nori, Launais, Alomar) mais également Winamax (Levi, Lacay, Dhorasoo, Kitai, Abecassis, Portal, Skripchenko, De la Gorce, Roux...), Pokerstars ( Bichon, Mattern, Brecard), Everest ( Soulier, Saout, Truche), Barrière (Canali, Pollak, Martinez, Cescut, Biechel...) ou Pokerleaders (Sacryspeyre, Douce, Haik). Du coté des peoples passionnés : Estelle Denis ou Bruno Solo seront de la partie.

Les ténors
Bien évidemment les premiers au classement LivePoker sont prêts à en découdre pour conserver leur rang avec Hairabedian en tête mais aussi Pasqualini, Gleize, Inizan, Darcourt, Pecheur, Amourette, Costa...

Tous les médias de la planète poker
En parallèle, tous les médias poker seront au rendez vous pour couvrir l'événement : Toute l'équipe LivePoker assurera le coverage (rubrique coverage du site) dès le jeudi 2 septembre pour ne rien manquer ! ClubPoker, MadeinPoker, CardPlayer, Pokernews, Poker52 seront également dans la salle média. N'oubliez pas que les commentaires seront assurés par Raquel Azran, rédactrice en chef de LivePoker, accompagnée d'Adam Lounis.

Vous pouvez encore vous qualifier pour la finale !

Mercredi 1er septembre :
14h Super Satellite - 900€ NLH - 5000 jetons / levels 20min
21h Super Satellite - 900€ NLH - 5000 jetons / levels 20min

Jeudi 2 septembre :
21h Super Satellite - 900€ NLH - 5000 jetons / levels 20min

Source livepoker.fr

Vilamoura 2010 : Brandon Cantu chipleader au début du Jour 3

Je vous raconte ma sortie encore un peu dégouté de coup de poisse. Je perdrais d'abord 50000 jetons avec un as/dame de coeur. Ensuite les blinds venaient de passer à 4000/8000/500 et il me restait 145000. Un gars qui était bouton quand j'étais big blind me relançais à chaque coup et la même scénario il relance 16500 et j'ai as/5 de piques et je pousse all in. Il hésite puis me paye avec roi/5 off. Un pot de 300000!! Au flop je touche 2 piques il lui reste 2 rois à tirer et riviere un roi!! Mon coup de poisse du tournoi!! A 8 places des payés mais bon c'est le poker comme on dit. Rendez-vous le week-end du 3 septembre à Paris. Pour ceux que ça intéresse il me reste des parts à vendre rdv sur mon blog et pour tous renseignements contacter moi sur vip@pokerface52.com 17 euros la part pour 1% de mes gains. Un tournoi à 1000 euros deepstack. A+++

voilà 4 niveaux d'une heure viennent de passer et mis à part mon dublle-up avec ma pair de 5 je n'ai vu que des poubelles!! J'ai su me maintenir à 180000 avec quelques vols et 2 bluffs. Il va falloir doubler avant la bulle car les blinds vont passer à 4000/8000/500 et à 16000 le tour ça devient cher un petit rush serait le bien venu!! Voilà à tout à l'heure j'espère avec de goods news!!

Voilà comme annoncé hier je vais vous raconté un peu ma première journée du main.
93 joueurs au départ avec une structure de 50000 jetons blinds toutes les 45 min au day1 et 1h à partir du day2.
Je commence le tournoi sur les chapeau de roue ça fait des mois que je n'avais plus connu ça!! En 4 niveaux je vais toucher:

• 3 brelans
• 2 quintes max
• 2 full max
• 1 carré

Ni plus ni moins!!! Et chaque fois avec des rencontres!! Ce qui fait qu'après 3h je suis cheap leader avec 120000 jetons aux blinds 200/40/0!!

Après la pause dîner j'ai gérer mon jeu sans prendre de risque inutile car on n'avait cassé ma table et je m'étais retrouvé à une table avec 4 joueurs scandinaves qui ne faisait que relancé et sur relancé à gogo j'ai attendu mon moment pour prendre 45000 jetons à l'un d'eux pour terminer la journée à 148100 pour une moyenne à +- 115000, il restait 41 joueurs.

Aujourd'hui mon collègue steve joue le day 1b et à l'heure àctuelle après 4h30 de jeu il est cheap leader avec plus de 150000!!!! Il vient de m'envoyer un message et entre autres il vient de craquer une pair d'as avec as/roi et il touche sont brelan!!!

Pour sa part notre pot xavier charlier est sorti sur une horreur!! Pour un pot de 125000 en ayant choppé sont brelan de 9 sur un flop DAME/9/2 il entraine le gars à tapis au flop et celui-ci à AS/DAME pour une turn AS et rivière DAME!!! Très sale coup!!

Voilà rendez-vous demain pour le day2

Voilà après avoir traversé des paysages magnifiques nous voici arrivé à coté de Split pour notre séjour poker. Et on en prend encore plein les yeux le contraste terre, mer, montagne est magnifique!! Nous avons pris nos quartier au Méridien superbe hotel casino en bord de mer.

Salut tous le monde,

voilà nous sommes remonté de la piscine et je vais continuer à vous faire vivre notre séjour.

Après Belgrade nous avons passé une journée à Sarajevo toujours avec notre ami qui réside à Sarajevo. Il nous à fait visiter la ville et le calvaire de la guerre qu'il à connu à ses 14 ans et qu'il a dû quitter le pays avec sa maman pour arriver en Belgique!!

La ville s'est bien relevée de la guerre et est très accueillante et toutes les religions cohabitent comme avant la guerre.

Les mosquées et les églises sont une à coté des autres et il n'y a plus de problèmes.

Voilà je vous laisse quelques photos

Bonsoir à tous il est 4h du mat et je viens de terminer mon day1 avec 148100 jetons pour une moyenne à 115000 une bonne journée dans l'ensemble avec un gros rush de départ puis une gestion de stack sur la fin. Demain journée repos j'en profiterais pour poster quelques articles au bord de la piscine. A++ suis mort

Salut tous le monde,

Nous sommes arrivés hier à Belgrade pour le week-end avant de rejoindre Split lundi pour l'Open de Croatie.

Déjà quelques images gravées dans nos mémoires je suis avec steve, xavier charlier mon compagnons de chambrée inséparable et un ami du pays qui est un gros avantage pour nous ne fût ce qu'au niveau de la langue!!

Déjà une soirée mémorable hier!! Nous avons pu constater l'hospitalité des gens du pays très sympathique et après un bon restaurant nous sommes sorti dans la partie branchée de la ville!!
La ville est coupé en 2 par un grand fleuve et il y a tout le long sur 3/4 km des bars branchés sur le fleuve où des groupes jouent en live et mette une ambiance phénoménale!!

Mais ce qui est encore mieux pour nous c'est que la vie est 4 à 5 fois moins chère que chez nous!! Il est vrai qu'ici le salaire moyen est de 400 /500 euros par mois.
1 euro vaut 100 dinars!! On est pas habitué de payer une bouteille à table en boite à 25 euros!!
Un super resto apéro, vin, entrée, plats dessert pour 60 euros pour 4 personnes!!

Aujourd'hui nous avons visité la ville et nous avons encore pu remarquer les horreurs de la guerre que ces gens on vécu il y a une quinzaine d'année!! Il reste des immeubles à vue qui ont été bombarder et cela reste impressionnant à voir!!

Demain nous allons a Sarayevo chez notre ami où une soirée barbecue nous attend avec une belle petite fête en Bosnie!!

Et lundi nous rejoindrons split en bord de mer pour notre open de Croatie un main event à 1100 euros 350000 euros garantis. 50000 jetons blinds toutes les heures!! Magnifique

A plus je vous tiens au courant de nos aventures très vite.

A+++++++

hotmax9

L’ACF annonce ses Hold’Em series

Kipik Poker : que faire contre la variance ?

S’il est un terme qui revient encore et encore dans toute discussion liée au poker, c’est : variance.

Brut de décoffrage, la variance représente la dispersion d’un échantillon par rapport à la moyenne. Si vous êtes aussi fort en maths que moi, ça vous aide certainement.

Sur un pile ou face, chaque côté tombera une fois sur deux. C’est statistique. Mais dans la réalité, il sera extrêmement rare qu’une série de lancés vienne pile-face-pile-face-pile-face… La variance permet d’estimer les variations par rapport à cet idéal, tout ce qui dévie de la «norme» et fera que 4 piles succèderont à 2 faces.

Variance au poker : Court terme et long terme

Si le poker est un jeu où la chance pèse énormément dans les résultats à court terme, notre talent permet d’être gagnant sur le long terme, quand la part de hasard sera «noyée» dans le nombre de mains jouées. Le long terme est donc le domaine de l’espérance et de la moyenne. Alors que le court terme est le royaume de la variance (et donc du hasard).

Reste à définir ce qu’est le court terme. Et, mieux encore, ce qu’est le long terme, ce seuil magique où la variance est censée s’effacer…

Et c’est là que les choses prennent une tournure généralement désagréable. Au poker, du fait d’une variance relativement élevée (le poids du hasard), le court terme est plus long qu’on ne l’imagine. Beaucoup plus long. Pire, la définition du long terme ne cesse de s’allonger et on parle assez facilement aujourd’hui en millions de mains alors que 200.000 semblait un seuil acceptable il y a quelques années…

Si vous jouez une heure par jour sur deux tables, même en jouant tous les jours, vous ne cumulerez qu’une cinquantaine de milliers de mains sur l’année. Si vous passez trois heures par soir, six jours par semaine, dans votre casino local, vous n’aurez même pas joué 30.000 mains. Autant dire que, pour un joueur occasionnel (l’immense majorité des joueurs), le long terme tient du pays imaginaire. Et se débarrasser de la variance… du conte de fés.

Vu que vous allez jouer sur le territoire de la variance, autant comprendre le mieux possible ce qu’elle est et comment elle se manifeste.

La variance n’est pas la même pour tous

On va faire simple et éviter les définitions à base d’écart-type. Mais la variance va dépendre pour l’essentiel du jeu auquel vous jouez. Et de votre stratégie globale. Grâce à la formidable loi relative à l’ouverture (sic) du marché du jeu en ligne, la France est aujourd’hui un pays merveilleux où le premier critère (la variante) se limite aux seuls Hold’em et Omaha. Vu la fréquentation exceptionnelle des salles de jeu, et le rake prohibitif, on peut oublier que le Hold’em se joue aussi en Limit et restreindre le choix aux No Limit Hold’em et Pot Limit Omaha. Remercions nos sénateurs et députés de nous simplifier la vie en ayant interdit toutes les variantes à faible variance (razz, Omaha 8…) pour ne garder que les deux jeux où la variance est la plus forte.

Votre variance sera plus faible si vous avez une approche conservatrice. Et si vous jouez sur des tables passives. Jouer la serrure sur une table de dix joueurs où tout le monde adopte la même stratégie vous permettra de réduire la variance au minimum (enfin, façon de parler, la variance sera toujours là et généralement plus forte que vous l’imaginez). Jouer très large et très agressif sur une table de six joueurs où tout le monde a le doigt sur le bouton "Relance" va au contraire faire grimper votre variance à un niveau où vous avez intérêt à avoir le cœur bien accroché.

La variance, ami ou ennemi ?

Pour autant, réduire la variance n’a pas d’intérêt stratégiquement. C’est une stratégie qu’on retrouve chez beaucoup de joueurs débutants. Mais ce n’est pas une stratégie qui permette d’optimiser les gains (et c’est bien la seule chose à laquelle un joueur de poker doit penser).

Le problème vient de ce qu’on associe généralement variance et pertes. Badbeats. Malchance.

Or, si la variance mesure la dispersion par rapport à la moyenne, c’est une mesure dans les deux sens : quand la chance n’est pas au rendez-vous et que nos résultats sont en-deçà de la moyenne, bien sûr; mais aussi quand la réussite est de notre côté, quand nos résultats sont au-dessus de la moyenne.

Si vous jouez 1000 mains tous les jours en gagnant 0,1€ par main, vous gagnez en moyenne 100€ par jour. Mais en moyenne seulement. Selon votre variance, la répartition des résultats (la dispersion, donc) sera plus ou moins chaotique mais votre moyenne de 100€ par jour implique des journées à 300€ (variance positive) comme des journées à -150€ (variance négative). Et, finalement, très peu de journées à 100€.

Ca implique aussi des semaines entières de journées négatives. Qui n’ont rien de plus exceptionnel que des semaines de sessions positives. La moyenne est de 100€ mais, pour arriver à cette moyenne, tous les cas de figure sont possibles. Étonnamment, quand on parle de variance, c’est toujours lors de séries négatives. Et rarement lors de séries positives. C’est bien connu : on gagne parce qu’on est bon, on perd par malchance.

Et cette vision «négative» de la variance s’applique aussi quand il s’agit de discuter d’une main : si le mot «variance» apparaît dans une discussion, c’est que le joueur a encaissé un mauvais coup. Je crois n’avoir encore jamais lu « variance » associé à une main où quelqu’un gagne contre . Il faut avouer qu’on parle moins des mains où gagne contre que l’inverse. Personne ne s’intéresse aux trains qui arrivent à l’heure.

Sauf, peut-être, les joueurs de poker…

La variance illustrée (aka : «Chatte! j’ai gagné un 80/20 !»)

Reprenons notre contre . Vous êtes en NL10 et tout part préflop. Alleluia ! A vous les 10€ du donkey! En tout cas, les 81% du temps où notre paire tiendra… Et le reste, on tilt ? Si vous ne comprenez pas la variance, c’est possible. Parce que, 19% du temps, on va souvent se demander «mais pourquoi moi ? pourquoi ?».

Analysons la main sous un angle différent : vous faites tapis pour 10€ avec . Et votre adversaire paie avec 99. 81% du temps, vous allez gagner le pot de 20€. Et, 19%, le perdre.

Autrement dit, en moyenne, vous allez gagner 81% x 20€, soit 16,20€. Et votre adversaire, lui, gagnera en moyenne 3,80€ (oui, un gain négatif).

Quand notre adversaire trouve son brelan, on gagne 0. On enregistre donc une variance négative de 16,20€. Mais quand notre paire tient, on gagne 20€, soit une variance positive de 3,80€.

Certes, on est malchanceux quand notre adversaire craque nos . Mais moins qu’on l’imagine (16,20€ et pas 20€). Et, surtout, on est aussi chanceux quand nos As tiennent puisqu’on gagne plus que ce qui nous est statistiquement «dû» (20€ au lieu de 16,20€).

Sans variance, pas de gains

La variance n’est ni bonne ni mauvaise. Ou, pour être plus correct : la variance est à la fois bonne et mauvaise. Elle ne fait que mesurer les écarts possibles par rapport à la moyenne. Si nos As se font craquer, c’est non seulement moins coûteux qu’en apparence. Mais c’est aussi la condition nécessaire pour que, à long terme, chaque confrontation contre nous rapporte 81% du pot.

Notre cerveau a quelques difficultés à accepter ce principe. contre est un acquis pour lui. Et, quelque part au cœur des circonvolutions de notre cerveau, on visualise déjà le pot venir à nous.

Or, cette visualisation est une aberration : la totalité du pot ne nous revient jamais. Seulement 81% du pot nous revient «de droit». Le reste, ce qu’on gagne en plus par chance quand notre paire gagne, est de la variance positive. C’est de l’argent qui ne nous appartient pas. Qu’il faudra rendre. Ou, dit autrement, qui servira à financer les 19% du temps où notre adversaire bénéficiera, à son tour, d’une variance positive. Au final, la variance positive finance la variance négative.

Une paire d’As qui perd, c’est certes de la malchance. Mais une paire d’As qui tient, c’est de la chance. De la variance positive. Si vous parvenez à ne plus visualiser la perte comme une défaite, mais juste comme l’expression nécessaire de la variance au même titre que le gain est l’expression d’une variance positive, chanceuse, et non un «dû», alors un bel avenir s’offre à vous dans le poker.

Evidemment, la variance négative sera généralement plus forte que la variance positive. Dans le cas de notre , on perd 16,20€ quand la variance est négative et on gagne 3,80€ quand elle est positive. Ça ne signifie pas pour autant qu’elle est plus « mauvaise » que « bonne ». Mais, tout simplement, que vous mettez votre argent en jeu dans une situation très favorable. Et, donc, à terme, que vous serez un joueur gagnant. Espérer l’inverse revient à espérer jouer des situations défavorables. Bonne chance !

Ce qu’on ne comprend pas nous fait peur

Sur 100 mains, (chiffres purement illustratifs), 70 vont se dérouler « selon le plan ». Quinze verront la chance tourner en votre faveur. Et 15 en votre défaveur. Vous ne pouvez rien faire pour améliorer les 15 favorables, c’est juste de la chance, une variance positive. Mais une énorme part de votre réussite au poker, sinon la totalité, va dépendre uniquement de la façon dont vous gérez les 15% de mains défavorables où la variance sera négative. Et le meilleur moyen, sinon le seul, pour y arriver, va être de travailler votre compréhension de la variance.

C’est ainsi que vous éviterez le plus facilement d’être sujet au tilt. Or, si la variance est à la fois positive et négative, le tilt, lui, sera toujours négatif. Ce qu’on perd (ou gagne) du fait de la variance est normal et, au final, s’équilibre pour arriver à long terme à la moyenne espérée par notre talent. Ce qu’on perd en n’acceptant pas que la variance s’exprime autant négativement que positivement n’a rien de normal et représente un coût qui peut dépasser notre espérance de gains.

Se plaindre de la variance n’a aucun sens. Vouloir lutter contre n’a pas vraiment d’intérêt. La seule chose que vous pouvez faire, et devez faire si vous espérez devenir un joueur gagnant (et dans le cas contraire…), c’est comprendre et accepter la variance. Ne plus penser à chaque main selon son issue, mais uniquement selon son espérance et la rentabilité des décisions.
Je vous souhaite tout de même bonne variance pour la semaine ;)

Source pokernews.fr